mardi 7 octobre 2014

LUTTE POUR TA CLASSE, CAMARADE !


La lutte des classes n’est pas une priorité des Nationalistes Radicaux Français, toutes tendances confondues. Peu de personnes changent d’attitude par rapport aux syndicats, à l’image de Roberto. Peu de militants pour la famille traditionnelle (récente manif MPT à Paris) comprennent qu’il ne faut pas séparer les luttes, au risque de faire passer au second plan notre objectif commun : sortir de l’Union Européenne et abolir le capitalisme, du moins là où nous le pourrons.
Il n’existe pas de « bons » patrons, seulement des humains qui à l’échelle d’une petite entreprise ou d’une multinationale (qui délocalisent dans le Tiers-Monde notamment) dirigent un groupe de salariés qu’ils peuvent licencier quand bon leur semble. Le paternalisme des chefs de boites est un faux-semblant, puisque tout est basé sur la recherche du profit. Le corporatisme est une vaste tromperie : aucun patron n’accepterait de gérer son entreprise avec ses salariés tout en conservant son statut privilégié ! Une société collectiviste exige l’abolition du patronat et l’instauration de la gestion communautaire des biens. Les exemples ne manquent pas : kolkhozes et sovkhozes en URSS, occupations des terres par les anarchistes espagnols CNT-AIT (pas les sous-merdes antifas d’aujourd’hui !!) dans les années 1920-30s, reprise des terres vierges par la jeunesse volkisch, squats skinheads, junkies et punks dans l’ex-RDA et le Bloc de l’Est, avec un fonctionnement autarcique. La France avait dans le mouvement anti-CPE quelque chose de juste, si on exclut la casse inutile et les racailles. Il y avait quelque part quand même la volonté de montrer un bon fuck au MEDEF (sauf qu’avec les SCALPeux on ne fait pas grand-chose !!) et j’y étais descendu en bon skin national-communiste. Sauf que j’étais déçu par le public et l’essoufflement du mouvement une fois la came, l’alcool et les baise parties terminées.
Frères, nous devons une fois pour tous penser que si Révolution doit avoir lieu un jour, elle devra être à la fois nationale et sociale ! Pour ne pas dire : la Révolution, on la fait chaque jour en nous et autour de nous. CLASSWAR don’t STOP !


NKOI!

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