Tout comme certains sociaux-nationalistes, les
Nationaux-communistes se distinguent à la fois des ultranationalistes et
des communistes classiques:
-utiliser l'instrument d'analyse marxiste (sans toutefois y adhérer totalement)
-militer pour l'instauration d'une dictature du prolétariat (soviets) à l'intérieur d'une unité nationale servant, quand à elle, à définir un cadre géographique et culturel cohérent pour lutter efficacement contre le Capital.
-à la différence des sociaux-nationalistes, être collectivistes et humanistes. On pourrait presque dire "progressiste".
-matérialistes et athées, là ou les sociaux-nationalistes (dont l'auteur du blog) trouvent nécessaire le maintien d'une tradition et de valeurs supra-matérielles (religieuses, culturelles) comme ciment social.
-militer pour une révolution de type Léniniste.
-II faut "reprendre le communisme aux communistes occidentaux", qui, en majeur partie, sont considérés comme des sociaux-traîtres.
-soutenir inconditionnellement les régimes nationaux-communistes (internationale-nationaliste).
Les sociaux-nationalistes, eux, ne sauraient se réduire (ou s'enfermer) dans la définition du communisme, à la fois à cause de désaccords doctrinaux et aussi par la problématique portée par cette appellation. Toutefois, ils reconnaissent la nécessité de ""reprendre le communisme aux sociaux-traîtres""" (à savoir les "gauchistes" libertaires ou les trotskystes). Le national-communisme, comme en Serbie, en Corée du Nord ou au Belarus, peut être un obstacle de taille face à la domination capitaliste et thalassocratique de l'Empire américain.
De plus, nous avons conscience que le national-communisme est l'un des ponts qui permettra la jonction vitale entre les forces populaires ""de gauche"" et le peuple dépolitisé, ou encore le "peuple de droite" (droite au sens des valeurs). C'est cette jonction vitale qui permettra la prise de conscience populaire et donc la révolution. Et c'est évidemment pour cette raison que le système luttera de toute ses forces contre une telle jonction, principalement au sein de ses instruments infiltrés à gauche que sont les "antifas" (les atlantistes et les islamophobes eux, s’occupent de la droite).
La priorité de tout national-communiste ou national-bolchevique sera de soutenir et de développer le vrai communisme (PRCF, etc) face au trotskisme décomposé et aux "antifas". Elle sera aussi d'établir un front socialiste commun avec les nationaux-révolutionnaires et les solidaristes, au travers d'implantations locales. Enfin, le national-communiste sera soucieux de se syndiquer dans les derniers syndicats qui ne sont pas encore totalement pourris par la tête (par exemple, FO).
Au proche-orient, les communistes se sont ralliés au nationalistes du Baath, aux nationaux socialistes du PSNS ou encore au parti de la résistance qu'est le Hezbollah, pour lutter avec succès contre l'agression sioniste, impérialiste ou encore salafiste.
Un exemple à suivre en France, face à l'implosion probable de la Vème République.
http://rougenoir76.over-blog.com/national-communisme-et-national-bolchevisme
Auteur: Guillaume Lenormand
-utiliser l'instrument d'analyse marxiste (sans toutefois y adhérer totalement)
-militer pour l'instauration d'une dictature du prolétariat (soviets) à l'intérieur d'une unité nationale servant, quand à elle, à définir un cadre géographique et culturel cohérent pour lutter efficacement contre le Capital.
-à la différence des sociaux-nationalistes, être collectivistes et humanistes. On pourrait presque dire "progressiste".
-matérialistes et athées, là ou les sociaux-nationalistes (dont l'auteur du blog) trouvent nécessaire le maintien d'une tradition et de valeurs supra-matérielles (religieuses, culturelles) comme ciment social.
-militer pour une révolution de type Léniniste.
-II faut "reprendre le communisme aux communistes occidentaux", qui, en majeur partie, sont considérés comme des sociaux-traîtres.
-soutenir inconditionnellement les régimes nationaux-communistes (internationale-nationaliste).
Les sociaux-nationalistes, eux, ne sauraient se réduire (ou s'enfermer) dans la définition du communisme, à la fois à cause de désaccords doctrinaux et aussi par la problématique portée par cette appellation. Toutefois, ils reconnaissent la nécessité de ""reprendre le communisme aux sociaux-traîtres""" (à savoir les "gauchistes" libertaires ou les trotskystes). Le national-communisme, comme en Serbie, en Corée du Nord ou au Belarus, peut être un obstacle de taille face à la domination capitaliste et thalassocratique de l'Empire américain.
De plus, nous avons conscience que le national-communisme est l'un des ponts qui permettra la jonction vitale entre les forces populaires ""de gauche"" et le peuple dépolitisé, ou encore le "peuple de droite" (droite au sens des valeurs). C'est cette jonction vitale qui permettra la prise de conscience populaire et donc la révolution. Et c'est évidemment pour cette raison que le système luttera de toute ses forces contre une telle jonction, principalement au sein de ses instruments infiltrés à gauche que sont les "antifas" (les atlantistes et les islamophobes eux, s’occupent de la droite).
La priorité de tout national-communiste ou national-bolchevique sera de soutenir et de développer le vrai communisme (PRCF, etc) face au trotskisme décomposé et aux "antifas". Elle sera aussi d'établir un front socialiste commun avec les nationaux-révolutionnaires et les solidaristes, au travers d'implantations locales. Enfin, le national-communiste sera soucieux de se syndiquer dans les derniers syndicats qui ne sont pas encore totalement pourris par la tête (par exemple, FO).
Au proche-orient, les communistes se sont ralliés au nationalistes du Baath, aux nationaux socialistes du PSNS ou encore au parti de la résistance qu'est le Hezbollah, pour lutter avec succès contre l'agression sioniste, impérialiste ou encore salafiste.
Un exemple à suivre en France, face à l'implosion probable de la Vème République.
http://rougenoir76.over-blog.com/national-communisme-et-national-bolchevisme
Auteur: Guillaume Lenormand