Depuis que le MNBF existe, les questions apparaissent par elles-mêmes. Pourquoi sommes-nous nationaux-bolcheviks ou nationaux-communistes ? Pourquoi s'attacher à l'Organisation qu'elle soit autonome ou centralisée ? Viennent chez nous ceux qui s'en foutent des partis de gauche comme de droite et souvent ces personnes ne s'intéressent meme pas à nos idées. Ça sent les pantoufles moisis et la naphtaline des placards rongés par les parasites. La maladie de la rue les quitte et l'esprit solidaire et passionné, véritablement communiste, s’essouffle. Peut-être à jamais. Certains aiment les plateaux de télévision, d'autres restent muets comme des poissons lors des réunions. Ils ne proposent rien de neuf mais attendent que des camarades montent une initiative à leur place. Ils n'ont qu'à faire de l'Organisation; cette équipe qui n'est qu'un seul corps et en même temps ou chacun reste différent. Dans les paroles ce sont de grands révolutionnaires, sauf quand il s'agit de mettre son idéal à l'épreuve de l'action ou du temps. Beaucoup pensent à s'installer confortablement dans la vie et ne se voient pas dans le "milieu" dans quelques années. D'autres travaillent. Quel travail bordel? Certes, il faut manger et bien plus encore. Toutefois rien n’empêche de continuer d'avoir des idées et de ne pas rompre avec soi-même (parce que si on croit à quelque chose, on prend du recul, on transforme sa vision des choses, mais on reste le même), et d'avancer le combat à sa façon. Comme ça nous serons toujours les maillons d'une chaine qu'aucun ennemi ne pourra briser. Une discipline stalinienne est nécessaire dans tous les cas.
L'avenir est à nous parce que la gangrène ronge le monde d'exploitation capitaliste ou tout s'achète et tout se vend, jusqu'aux relations humaines, jusqu'au simple sourire. Et nous, nationaux-communistes et NB de la FPR, nous refusons de nous diluer dans un tel "paradis" sans âme.
La Force Populaire Révolutionnaire est destinée à nous rassembler dans une famille de camarades, frères et sœurs épris de volonté d'aller toujours et encore plus loin dans leur engagement. Elle est au-dessus de la politique politicienne. La FPR ne fait pas de la "politique" bureaucrate. La "politique" est trop sale pour qu'on se mouille là-dedans. Nous préférons avancer, guidés par ce qui sort des profondeurs de nos âmes.
"Là ou il y a une volonté, il y a un chemin" - disait Lénine et nous le suivons dans ce cas.
OUI, MORT ! OCCITANIA !
CFNC-FPR
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