dimanche 22 décembre 2013

(Réédition) Le droit de réponse aux amis antifas Hardline et Straight Edge : Monopole antifa ? On a pas besoin de ça !!

 Suite au communiqué paru sur nous sur le forum Straight Edge France (voir http://straightedge.bbactif.com/t1093-communique-faux-hardliners-vrais-fascistes), une sorte de synthèse qui voulait résumer notre démarche, en bons citoyens nous avons jugé indispensable de contribuer à ce riche étalage de critiques, en usant de notre droit de réponse. Il était dans notre devoir de ne pas rester muets pensant qu’on déversait les mensonges sur le mouvement Hardline français, en revenant sur les fondamentaux du courant Straight Edge même. Nous avons ensuite jugé intéressant de poursuivre le raisonnement en démontrant que les règles des trois X ne s’appliquait pas forcément qu’à vous, vous qui avez tant désiré garder pour vous-mêmes cette identité, si facile à orienter dans le sens que l’on veut. Mais vous vous êtes trompés. Et la Résistance Hardline continuera de murir pour qu’un jour vous compreniez que votre “engagement” n’avait pas de sens, que vous n’étiez rien d’autre que de fidèles exécuteurs de la volonté du pouvoir capitaliste et apatride, américanisé et toujours ancré dans la sous-culture de la consommation du whisky et de la cocaïne! Vous ne savez pas ce que vous faites. Viendra le temps ou peut-être certains d’entre vous nous rejoindront. En attendant oyez oyez bons gens, ce que nous avons à vous dire, nous, après avoir tant écouté vos gémissements de haine stérile.

La France n’avait pas connu de passion particulière pour les mouvements Straight Edge, et encore moins pour le Hardline avant l’année 2008. La tendance vegan a été propagée à elle seule par les mouvements protecteurs des animaux comme Droits des Animaux (très efficaces et courageux), et l’ALF, qui ne sont pas tous à classer dans l’extrême-gauche radicale. En ce qui concerne le Straight Edge et le Hardline, tout a commencé par le cyber activisme et précisons-le, dans le bon sens de ce terme. C’est en effet dès octobre 2008 et les mois qui suivirent, que les quelques intéressés avaient mis sur la Toile un forum dédié justement au Straight Edge, visant à faire partager les expériences similaires des personnes vivant en France en priorité, mais aussi dans des pays limitrophes. C’est inspiré par cet élan de rassemblement communautaire que HardlineR s’est inscrit dessus, pour ensuite être banni à plusieurs reprises pour avoir osé s’exprimer librement. Les prétextes ont été nombreux : fascisme, sexisme, homophobie, machisme, et on en passe de plusieurs gratifications semblables qui nous ont été lancées à la figure… Par la suite, Suffox, l’administrateur du forum fut banni lui aussi, pour avoir changé radicalement sa vision du monde, et en soutenant la présence d’HardlineR qui n’insultait aucun membre. Il s’agissait de son blog « personnel » ou il mettait ce qui ne plaisait pas aux uniformisés. Suffox a lui aussi créé son blog pour étayer son propre point de vue sur Internet afin de le faire partager à d’autres adeptes ou curieux du Straight Edge ou du Hardline. Le forum semblait débarrassé à jamais du diktat fasciste ! Pourtant il en restait que les inscrits subissaient une terrible pression de la part des « anciens » membres qui orientaient le forum de plus en plus à gauche, le politisant ainsi envers et contre tous, et cela malgré que nous ne cessions de leur tendre la main. Ils se sont laissés récupérer par les mouvements virtuels tels La Terre d’Abord, les maoïstes, les “libertaires” (sic!) ou bien par l’Action Antifasciste, vers 2011, bien réelle sur le terrain, mais nullement en matière du Straight Edge ni du Hardline. Pour résumer, le Straight Edge « français » des origines s’était vite fait récupérer par la tendance politique dite libertaire-antifasciste, des “féministes” en quête d’identité, adaptant le mouvement Straight Edge à leur aise. Sauf le Hardline qui, bien sur, étant antifa dès sa naissance ne pouvait renaitre selon ces personnes ! Eh bien comme d’habitude, ils se sont trompés. Nous nous sommes réunis durant l’été 2010 sous un soleil de plomb, pour tisser des liens nous permettant d’agir ensemble dans l’avenir. C’est ainsi qu’était née la Résistance Hardline, notre réseau de militants autonomes, agissant de leur plein gré, seuls ou plusieurs; la quantité ne faisant pas la qualité. Nous avions même un zine nommé x SélectioN x, nom que vous, les dits straighters “de gauche” dénoncez tant, à tort – vous ne l’avez jamais lu! Elle était forte votre critique… D’ailleurs ça donne envie de reprendre la plume, tiens, après une longue pause dans nos activités. Merci pour l’inspiration, chers collègues!

La une du dernier numéro du zine x SélectioN x - un must !

 
I)    Les origines du mouvement Straight Edge

I’m ? person just like you
But I’ve got better things to do…
I’ve got the STRAIGHT EDGE

Au commencement le mouvement STRAIGHT EDGE a été naturellement lié à la musique hardcore, qui est née aux USA sous l’influence du punk rock au tout début des années 1980. Mais pour comprendre les raisons de l’apparition du sXe, il est nécessaire d’analyser la situation qui s’était constituée sur la scène punk américaine vers la fin des années 70. New-York et Californie étaient alors les principaux centres de la culture punk. Et la situation dans ces deux centres différait radicalement l’une de l’autre. Si à New York à la fin des 70 il ne restait presque aucune équipe musicale correcte jouant du punk rock (les « stars » comme Ramones ou New York Dolls sont partis dès qu’ils ont obtenu la gloire, laissant la scène aux drogués ou aux paumés), en Californie en revanche la scène se développait activement. Les collectifs comme Black Flag, Dead Kennedys et bien d’autres ont durci le son et ainsi ont posé les fondamentaux du nouveau genre – le hardcore. Ils ont commencé à se produire en concerts sur tout le territoire fédéral, répandant de fait la contre-culture née par leur investissement. Nous savons que petit à petit le punk était devenu une partie de la mode d’un pseudo rebelle lambda, sauf quelques agités qui continuaient encore à croire dans l’utopie de la pseudo-anarchie, le laissez-faire total, le nihilisme destructeur. En Angleterre la solution fut trouvée avec la Oi ! musique. Aux USA c’est le hardcore qui est devenu l’outil du combat contre la société de consommation. C’est là qu’en 1989 sous influence du punk californien, d’un côté, et de la Oi ! musique de l’autre, que était née au Washington DC une nouvelle scène underground, qui était guidée par les groupes comme The Teen Idles, Minor Threat et Society System Decontrol. C’est en ce moment qu’était apparu le STRAIGHT EDGE, et le punk rock s’était transformé en hardcore. Ces groupes propageaient le Mode de Vie Sain (notre abréviation M.V.S.) sans drogues, sans alcool (pour les sXe l’alcool n’est pas assimilable à une « drogue » dans son sens classique) et sans le sexe incontrôlable. Et si les punks étaient associés à l’image des adolescents planant dans la fumée de leurs clopes, le hardcore s’identifiait avec le M.V.S. et avec des gars qui pouvaient danser le mosh (danse spécifique lors des gigs hardcore, sorte de pogo) toute la nuit. L’autre point spécifique de la nouvelle scène était le concept « do-it-yourself » (« fais toi-même »). Ça signifiait que les groupes devaient compter que sur eux-mêmes pour réaliser leurs productions, être indépendants des corporations et des grands labels. Dischord Records, mené par Ian McKaye (vocaliste du groupe sXe Minor Threat), avait posé les jalons de ce mouvement.
En 1981 Minor Threat sortait un mini album « Bottled Violence » sur lequel 10 morceaux ont trouvé leur place dans l’intervalle de 12 minutes. C’est là que la composition « Straight Edge » était mise en écoute du public, donnant naissance au nouveau courant, non seulement au sein de la musique hardcore mais aussi dans la culture alternative.

Straight Edge (texte de la chanson)

I’m ? person just like you
But I’ve got better things to do
Than sit around and fuck my head
Hang out with the living dead
Snort white shit up my nose
Pass out at the shows
I don’t even think about speed
That’s something I just don’t need
I’ve got the straight edge
I’m a person just like you
But I’ve got better things to do
Than sit around and smoke dope
‘Cause I know I can cope
Laugh at the thought of eating ludes
Laugh at the thought of sniffing glue
Always gonna keep in touch
Never want to use a crutch
I’ve got the straight edge

L’expréssion “STRAIGHT EDGE” si on la traduit mot à mot, on obtient « droite ligne ». En devenant straighter, un Homme se met à l’épreuve quant à ses engagements. Un des symboles du STRAIGHT EDGE était devenu la croix (X).). Au début pour rentrer dans la salle de concerts,
les vigiles mettaient une croix aux adolescents sur leur main avec de la peinture difficilement effaçable. En voyant la croix, le barmen n’avait pas le droit de servir de l’alcool à ces jeunes gens (-filles). Ainsi les straighters avaient décidé de se tatouer la croix sur les mains pour montrer leur refus volontaire d’alcool et de tout ce qui détruirait le corps et l’esprit. L’avènement des skinheads dans le hardcore, notamment des supporters fanas de SS Decontrol, a marqué la naissance d’un STRAIGHT EDGE violent et sans concession – il suffisait de fumer en présence de skins que le personnage finissait dans une mare de sang. On était loin, très loin de l’image de cranes rasés britanniques avec leur devise des trois B – Bière, Baston, Baise. Straight Edge Skinheads, bien que minoritaires, ont marqué de leur violence l’idéologie des Croix.
Ou était donc passé l’esprit “rouge” du mouvement?? Il n’avait jamais existé, c’est tout bête.

Origines “progressistes” du mouvement?
Ce que les amis gauchistes veulent dire par là, ne correspond pas vraiment au contexte de l’époque. Il ne faut jamais juger les faits avec les yeux de notre temps à nous, nous qui vivons dans d’autres conditions que les straighters américains des années 80-début 90. Ils étaient très “réactionnaires” si l’on puisse emprunter ce terme, et assez à “droite” par leurs valeurs (famille, honneur, etc…) – alors ne venez pas nous conter des lurettes sur les soldats de Trotski… Regardez donc le film (certes cela reste une adaptation artistique, pas forcément à 100% conforme à la réalité d’antan) “La Menace”, ou l’on voit d’un coté un marginal sXe mode para beatnik pacifiste qui est en train de faire découvrir à son ami le Straight Edge sous l’angle “gentil” et de l’autre coté, la bande de straighters prête à se jeter sur tout ce qui tient une canette! Ne voit-on pas là une paradoxe?
Pauvres antifas, vous ne comprendrez donc jamais que l’Histoire ne se fait pas sous la pression d’un groupe d’agités, mais plutôt par l’action des êtres animés par une même flamme, une même foi dans la Santé, l’idéal du Straight Edge classique et originel.
Passons maintenant au contexte plus large, englobant non seulement le Straight Edge, mais aussi la mouvance radicale Hardline, les deux étant désormais la condition ultime d’être un être conscient qui fait du bien à son entourage au nom des valeurs saines, valeurs qui n’avaient jamais changé dans l’esprit inconscient de nos sociétés Indo-européennes, mais aussi dans celles du monde entier. Valeurs qui ont fait la grandeur de nos civilisations et ont fait que nous sommes là encore à piétiner le sol que tant d’hommes et de femmes ont défendu et aménagé pour le meilleur et pour le pire.

II)    Le Straight Edge et le Hardline au service des Peuples en révolte

Nos détracteurs nous reprochent de nous inspirer des “pseudo-hardliners” et de straightedgers “fachos” (FACHé(e)S plutôt, non?!), ayant pour modèle surtout les   pays de l’Est, en l’occurrence la Russie et l’Ukraine, ou l’Allemagne, ou les Nationalistes Autonomes ont parfois adopté la culture des trois X. Sur scène ça avait donné naissance à des formations alternatives comme Moshpit, le groupe phare de l’offensive anti-système allemande. Danser le mosh, oui, du mosh pour des jeunes contestataires d’Allemagne! Sehr gut, freunden!
Néanmoins, nous ayant désigné en tant que “faux hardliners, vrais fascistes”, les fameux straightedgers antifa ne pensaient pas si bien dire, eux qui voulaient à tout prix ostraciser ceux/lles qui ont osé réfléchir sur l’importance du Hardline pour le bien être des siens. Oui, car tout en respectant les autres cultures, nous ne devons en aucun cas oublier notre propre héritage qui, dans tous les domaines, est dans un assez piteux état! Vous nous accusez d’être proche de la tendance “hate edge”? Eh bien, vous savez, la haine contre l’exploitation n’a jamais été un obstacle à l’émancipation; bien au contraire, l’Histoire s’était faite du symbiose de l’amour et de haine, les deux donnant un ensemble à la fois cohérent et chaotique, mais étant la condition de la survie et de la prospérité des Hommes sur cette bonne vielle planète.
La Russie avait été le terrier de la culture rebelle du jeunisme, s’appuyant sur une idéologie révolutionnaire, annonçant la nouvelle ère, le Hardline Straight Edge ou Hardline tout court. A ses débuts elle s’était bien développée à l’Oural dans la ville de Kirov, qui, à l’image d’autres espaces urbains du pays, grouillait des ravages de la peste due à l’alcoolisme de masse (et de simple consommation d’alcool, devenue à la mode – mauvais exemple pour les plus jeunes mais aussi un acte masochiste envers soi-même, même “en modération”) et du tabagisme, ainsi que d’héroïne et d’autres narcotiques. Le fer de lance de toute la mouvance russe fut le groupe hardcore radical, Nuchtern Reich, présidé par le vocaliste Lutoyar et devenu respecté dans le milieu local, notamment grâce aux chansons du genre Hardline sXe ou bien Degeneration Next. Certes, le groupe était ultra violent dans ses paroles et comme l’a dit Lutoyar dans l’interview au journaliste inquiétant sur les gangs hardline locaux (dont deux membres étant le vocaliste et le bassiste du groupe), “aux concerts l’énergie démontait tout obstacle, elle était illimitée”. Tout le monde se connaissait dans ce genre de concert, ils étaient en communauté vivant selon les règles des trois X, militant pour l’écologie radicale et la libération animale, pro life à fond. Et impitoyables avec ceux/lles qu’ils considéraient comme décadents, ou la honte de la Nation russe, au point de commettre des excès, en faisant des actes criminels, allant jusqu’au lynchage pour simple fait d’allumer une cigarette, à en croire la presse du Système. Pensons à ces musiciens qui ont toutefois contribué à ériger une tribune pour éructer dans les micros leur rage face à tout ce merdier qui sévit autour de nous. Et les antifas dans tout ça? A part de quelques groupes misérables à l’image de “Règle préventive”(Proverotschnaia Lineika) jouant un style de hardcore qu’on pourrait difficilement définir en tant que tel, ou du genre What We Feel, réalisant des compositions avec un peu plus de qualité, ils/elles n’avaient pas bougé leur fesses pour dissuader les jeunes de fumer par exemple. On leur accorde cependant un certain activisme pour la libération animale et l’instrumentalisation remarquablement orchestrée de la défense de la foret de Khimki, afin de pouvoir recruter de nouveaux membres naïfs, habitants du coin, qui les considèrent maintenant comme les seuls combattants contre les intérêts du grand capital, voulant bâtir une autoroute coupant la foret en plusieurs zones isolées. Une occasion rêvée de s’emparer du combat écologique et vegan, n’est-ce pas, chers amis?
MODE DE VIE SAIN – A JAMAIS SUR LES CROIX!!! Harrascho! Good! Gut! Très Bien les gens !
2008, 2009, 2010… Que des années ou des collectifs musicaux avaient pris la relève du feu Nuchtern Reich, en attendant une libération miraculeuse de ses deux membres. Il s’agissait de groupes modernes, ayant adopté les techniques activistes les plus avancées qu’exige le XXIe siècle – Outlaw Heroes Standing, x Terror Wave x, Death Penalty, sans citer d’autres moins connus par le public plus ou moins engagé ou tout simplement curieux d’apprendre du nouveau. Leur musique était dès le début, le reflet du quotidien des périphéries grises de vastes mégapoles comme St Petersbourg, ou, au contraire, le cri d’une bourgade endormie dans sa folie empoisonnée.
L’Ukraine a vu ses militants alternatifs se ranger progressivement dans la ligne dure du mouvement Straight Edge. A Kiev, on voit des hardliners marchant en Black Block à l’occasion des protestations qui n’ont rien à voir avec de simples cris de rage – les activistes s’affichent en colonnes et ne sont pas prêts de faire marche arrière. Tout cela attriste les petits dealers qui chient dans leurs frocs en attendant des expéditions punitives de jeunes soldats de la Cause des trois X.
Partout les Croix blanches et noires sillonnent les étendards, décorent les corps des combattants, fleurissent les murs – la Révolution populaire se fera sous les regards approbatifs de nos Anciens qui nous observent de loin.
Et nos glorieux antifas dans tout ça? Ou sont ils/elles? Quelle place occupent-ils/elles sous le soleil invaincu de nos futures victoires? Haha!! A vrai dire, vraiment peu, si ce n’est à dire qu’ils/elles n’en devront avoir aucune dans l’avenir, vu leur aveugle intolérance envers tout ce qui est différent.
 
III)    Antifa sur les Croix ? Les Croix sans Antifa !

Il est évident que les straightedgers de France ne jouent pas tous le jeu des manipulateurs fanatiques, beaucoup restent indépendants. Certains demeurent apolitiques et c'est tout à leur honneur que de ne pas s'engouffrer dans les règlements de comptes des gueguerres stériles. Ou bien ces pseudo-anarchistes qui n’ont pas compris que le véritable anarchisme ne se classait jamais dans une quiconque catégorie, si ce n’est ce que plus tard, durant la deuxième moitié du XXe siècle ou il avait éclaté en plusieurs courants, de l’extrême-gauche, en passant par des individualistes, ou même des anarcho-traditionalistes païens, voire des nationaux-anarchistes ! Rien n’est figé et vous êtes obligés de l’admettre, chers ami(e)s. Ridicule !

Pour revenir au Hardline (ligne dure) qui selon vous, on est pas digne de représenter… Ce mouvement était pro-life dès sa création, et même si son père-fondateur Muttaqi, chanteur du Vegan Reich, virait plutôt à “gauche”, l’essentiel de sa doctrine se basait sur l’application des Lois de la Nature, de la Gaïa, Terre-Mère nourricière de chaque être vivant, qui a droit au respect de sa vie, que ce soit un Homme ou un animal. Hardline c’est encore de nos jours un refus catégorique de toute substance provoquant une dépendance: l’alcool, le tabac, les drogues dites “douces” ou “dures”. Hardline s’incarne dans le veganisme, c’est à dire le refus de TOUTE exploitation animale, jusqu’à éviter au maximum de porter des objets d’origine animale ou de ne pas manger non seulement de la viande ou du poisson, mais aussi par exemple des bonbons avec de la graisse du porc contenue dedans!  C’est une philosophie qui avait été formulée avec un conservatisme extrêmement rigoureux et une volonté de résister jusqu’au bout à l’ennemi – ce n’est pas pour rien que le symbole des hardliners n’est autre que les deux fusils M16 croisées. Cela ne veut pas dire que la lutte armée serait la seule – c’est une aussi une allégorie montrant l’attachement de chaque hardliner au combat pour la Vie, cette valeur étant la plus sacrée de tout ce qu’il doit protéger sur sa Terre. De nos jours, il est évidemment devenu plus utile d’agir légalement mais avec une efficacité maximale qu’une violence aveugle voire dangereuse discréditerait aux yeux de nos sympathisants, alors que nous ne sommes là que pour leur bien! Le bien commun, pour l’avenir de vos enfants.

Les straightedgers qui ont rejoint l’Action Antifa ou ont été récupérés par de semblables propagandistes sont opposés à la défense de la Vie en tant que valeur puisqu’ils/elles nient à un Peuple le droit d’exister, ainsi qu’en s’opposant à Pro-vie et mettant en avant la stigmatisation des critiques de l’avortement et d’autres pratiques, ces personnes ne peuvent en aucun cas nous donner des leçons sur ce qu’est le Hardline des origines.


POUR DONNER UNE RÉPONSE FINALE A TOUTES LES ATTAQUES contre nous, nous, straighters indépendants, hardliners, et sympathisants, clamons haut et fort notre DROIT A LA DIFFÉRENCE. Chers amis antifas, il y a de la place pour tout le monde dans ce pays – toutes les opinions doivent pouvoir s’exprimer sans crainte.
Et même si vous refusez le fait que nous existons, il faudra désormais vous y faire, car le HARDLINE renait de ses cendres et a traversé l’Europe entière pour atterrir en France. Si nous ferons rien aujourd’hui, qui le fera à notre place? Si rien ne se réalisera maintenant, alors quand?
Il est dans notre devoir d’être sur le terrain, que ça vous plaise ou non, vous, qui prétendez seul(-e)s détenir la vérité.
Scandons tous ensemble, afin de faire chier à ces tristes individus qui nous détestent tant… Résistance Hardline existe bel et bien, et nous trouverons n’importe quelle prétexte pour subsister, ne serait-ce que pour vous faire chier, vous mettre en colère. Mais vous l’êtes déjà alors n’accentuons pas sur les sujets qui FACHEnt.

Voilà, espérons que cette réponse, si brève soit-elle, remettra les choses au point (sic!) et évitera aux novices (découvrant le mouvement Straight Edge/Hardline/Vegan/Végétarien) de tomber dans les préjugés que leurs seront fournis par les “bons” straightedgers face aux “méchants” qu’il faut éviter de fréquenter à tout prix!

Amusante cette approche, n’est-ce pas??

Les Hardliners de tous les pays d’Europe, des USA et d’ailleurs ne vous prendront pas au sérieux avec vos pseudo arguments adaptés à une idéologie paranoidale et même en la déguisant sous différentes sauces, la peste est toujours omniprésente. Sauf que nous, nous ne sommes pas sectaires, alors on vous ignore tant que vous ne nous empêcherez pas de travailler pour la Vie et de nous développer tranquillement.

RH forever. HARDLINE STRAIGHT EDGE – GREEN RESISTANCE – HAHAHA!!


   TRUE TILL DEATH!!! FIDELITE JUSQU’À LA MORT!!!


Résistance Hardline (réédition)

CFNC-FPR
  

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